Utilisation de plug-in
Principe des extensions, ou plugins.
WordPress est construit sur une architecture qui permet d’étendre les capacités de son cœur applicatif en toute simplicité, et, de manière pérenne face aux évolutions ultérieures de la plateforme. Cette technique d’extensions s’appelle les plugins.
D’une part il est très facile d’en écrire un nouveau répondant aux besoins du site, mais surtout et d’autre part, lié à l’immense communauté de développeurs et utilisateurs qui gravite autour de WordPress, il en existe énormément à disposition.
Ils sont pour la plupart accessibles depuis le Répertoire des extensions, qui recense près de 50 000 extensions gratuites, et Envato qui propose un catalogue d’extensions payantes, mais, dont le prix et généralement largement justifié.
Accroître les fonctionnalités
De manière native, WordPress répond à un large panel de fonctionnalités nécessaires à l’élaboration d’un site web moderne et qui se veut communiquant. Par contre il ne faut pas perdre de vue le rôle, et les objectifs, d’une plateforme de gestion de contenu CMS. Il s’agit de gérer l’architecture complète d’un amas d’informations, en permettant l’organisation, l’édition, la gestion et la publication d’articles, de pages, de menus, de catégorie, d’étiquettes, de commentaires utilisateurs, de médias divers… mais cela en répondant uniquement à un besoin le plus large possible.
De ce fait, la réponse à des besoins plus spécifiques, ou plus verticaux, est souvent inexistante. Par exemple, la gestion d’une lettre d’information, la gestion des galeries d’images, les carrousels, la prise en compte de tableurs externes, l’ajout de catalogues, l’ajout d’un module de vente, etc… et ces besoins peuvent rapidement rentrés dans un cahier des charges qui devient vite exponentiel.